Luyện nghe bài hát Odeurs de soufre

Réagissez à tout prix, vous sentez pas l'odeur de
C'est le de l'individualisme, moi ça me rend ouf!
Y'a rien à faire le fardeau pour l'homme a toujours lourd
Quelle que l'époque, la misère n'a pas de beaux jours
Elle a été là dans des conjonctures similaires
Nichée aux mêmes endroits à époque elle est millénaire
Ne serait-il pas temps qu'on mette fin à ce
Il est de voir plus loin pour ceux que la vie malmène
Le se dit sur l'terrain, c'est bien
Mais bien trop loin, roublard, du vrai quotidien!
eux y'a pas l'feu, c'est pas comme d'autres qui vivent dans l'attente
Putain, mais qui a mis la misère sur longue liste d'attente?
n'avait le droit, faut interdire la misère
A tout prix, prendre parti, de l'hypocrisie
C'est pas gagné, avant les étrennes
On préfère attendre qu'il gèle, désensibilisés parce que c'est pas notre
pas de mots savants pour exprimer c'que ça sent, c'que j'ressens
Mais les savent, sont forcément au courant

Il y a bien longtemps que je ne me demande
Ce que pourra faire le jour où le nombre d'exclus
Deviendra si lourd, que même dans le
Les trottoirs finiront par avoir haleine
Cela dit, dormez
L'hiver sera rude, ils seront moins nombreux en
Et puis de façon, depuis quand les gouvernements s'occupent-ils des gens qui meurent?
C'est pas l'heure, non, l'heure est au de leur France
le ventre vide, il faut que tu y penses!
Chaque jour, boy, dans le des tours
Pour ceux qui ont la chance quatre murs autour d'eux
qu'est-ce qu'on attend pour foutre le feu?
Juste d'être un peu plus
Car y'a beaucoup de oufs
Que d'odeurs de
Dans les de ceux qui souffrent
Y'a comme des odeurs de

T'as vu les Français se bouchent le nez face à l'urgence qui
Du pourrissoir que sont les autour de Paname
Et d'ailleurs c'est normal les gens pris que du macadam dans la tronche
Attachant plus à leurs petites bronches
par leur pollution, leur progrès élitiste
C'est comme d'attendre une catastrophe qu'elle s'accomplisse
Pas de solution donnée, mon reste ton plancher
C'est c'que tu liras dans les yeux de ceux qu'ont pas où
Y'a comme une grosse odeur de et moi ça me rend ouf
Y'a comme une grosse odeur de soufre et puis y'a de gens qui souffrent
Y'a comme un vent de mépris et ça tout le monde le sait aussi
On s'enlise salement, est sûr, c'est qu'c'est pas fini