Zoé, Zoé, aujourd'hui j'ai ans, Les mots qu'on appris ont disparus, J'ai du mal à faire des phrases comme il faut, Mais une fois j'en ai pas envie, C'est comme si mon était à moitié éteint, Qu'une partie était restée toi là-bas. Le paysage défile par la du train, Qui nous emmène à nouveau et dis,
C'est les plaines, beau le mois de juin, C'était hier, C'était ce matin, C'est les filles quand les choses sont douces, Sans violence ni dépit j'avais oublier depuis le temps. nuit à côté de toi c'était comme du lait, Comme du coton qui m'a de nulle part. Si on me l'avait dit j'y pas cru, Alors j'me le film en continu. Les de la veille se superposent au détail du wagon, flottent devant mes yeux comme sur la houle.
J'te revois perdue dans la Avec tous ces mongoles qui dansent n'importe comment. Et j'me revois moi essayant de t'atteindre en évitant les qui hurlent Et font des grands absurdes. Et toi qui attend, terrorisée, au du chaos, Et tes joues et puis ta peau.
Et moi qui croyait que j'étais pas il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, voulais pas. suis perdu, j'ai bu la tasse, Pour les bras d'une infirmière, j'me suis comme une crasse.
Et moi qui croyait que j'étais pas il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, voulais pas. Mais si tu m'jures, que tout ça du passé, Alors d'accord on tire un trait, on à s'apprivoiser.
Zoé, Zoé, aujourd'hui j'ai ans, Et j'voudrais dure un peu, absolument pas ce qu'on me dit, J'fais semblant d'être à mon siège, Les m'parlent Mais c'est comme si on de part et d'autre d'une porte vitrée. Je regarde le paysage défiler par la du train Qui nous à nouveau, Et dis,
C'est les champs, C'est le mois de juin, beau hier, C'était ce matin, C'est beau les filles quand y'a pas de peur, pas de pas de mépris. Quand les choses limpides, Cette nuit à côté de toi c'était une lueur dans les profondeurs. J'me suis enfin reprendre des couleurs, Si on me l'avait dit j'y pas cru. Alors j'me le film en continu. Les images de la dernière fois se au détail du wagon, Elles dansent par dessus le matériel.
revois sur l'herbe au bord du fleuve, J'revois la des nuages, les péages, les routes, les villages. Et j'nous revois dans le chaude tout à l'heure. Le vent tes cheveux les lampadaires qui défilent en orange. Et toi qui en pleine rue, Et puis tes larmes et tes bras.
Et moi qui croyait que j'étais pas il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu plus, qu'tu voulais pas. J'me suis perdu, bu la tasse, les bras d'une infirmière, j'me suis conduis comme une crasse.
Et moi qui que j'étais pas comme il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu pas. si tu m'jures, que tout ça c'est du passé, Alors d'accord on un trait, on recommence à s'apprivoiser.
Zoé, Zoé, aujourd'hui j'ai ans, Et que toi aussi. J't'imagine en train d'émerger doucement de nuit un peu courte, Ton pas léger sur le nu. deux doigts pour que tu sois comme moi, Dans un un peu second. Et regarde rêveuse les raild au loin, En voir passer le train qui nous emmène à nouveau et qu'tu t'dis,
C'est l'été, C'est beau le de juin, beau hier, C'était ce matin, C'est beau les garçons quand ils gentils et droits, Qu'ils sont vertueux même s'ils un peu maladroits Cette nuit à ses c'était spécial et nouveau, Et moi qui pensait j'me suis trompée. Si on me dit j'y aurais pas cru. Zoé que tu t'repasse le film en continu. Que les se superposent au détail de ta chambre, Qu'elles au dessus de ton lit défait.
Quand on a traversé la dans la chaleur naissante, Et qu'sur le la crasse et la laideur ont parus presque supportables.
j'ai peur de souffrir comme toi, J'suis habitué à ça. Je pas où ça va nous mener Mais j'crois qu'il qu'on s'donne les moyens d'être fixés. Faut se revoit.
Et moi qui croyait que j'étais pas il fallait. Qu'il fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, voulais pas. suis perdu, j'ai bu la tasse, Pour les bras d'une infirmière, j'me suis comme une crasse.
Et moi qui croyait que j'étais pas il fallait. fallait que j'tire une croix, qu'tu voulais plus, qu'tu voulais pas. Mais si tu m'jure, que ça c'est du passé, Alors d'accord on tire un trait, on à s'apprivoiser.