Luyện nghe bài hát Les enfants paradis

Ils des sourires, ils étaient des sanglots
Ils étaient de ces rires que font les chants
Ils étaient des quand on va bord de mer
Ils étaient chagrin, ils étaient cœur lumière
Ils étaient des poèmes, Ils étaient des
Ils des je t'aime qu'on dit bord du ruisseau
Ils étaient du café, ils étaient du
Ils étaient étrangers, ils étaient sans
Ils étaient de Paris, ils de province
Ils étaient cœurs de qui font cœurs qui grincent
Ils pleins de vie, avaient l'œil du printemps
Ils étaient qui rient quand le ciel est pleurant
Ils étaient des promesses, ils devenir
Ils étaient bien jeunes oui pour devoir partir
Ils étaient fils d'Orient ou de l'Occident
Enfants du paradis, du Bataclan
Ils étaient cœur français ou
Ils étaient la rosée qui pleure de le châle
Ils des promesses, ils étaient des bourgeons
Qui font tristesse, ils étaient des chansons
Ils étaient des familles, ils des amis
Ils étaient ce qui brille le ciel de la nuit
Ils étaient ceux qui se sont blottis
contre l'autre à deux, contre la tyrannie
Ils étaient comme toi, ils comme moi
Ils n'étaient pas guerriers mais sont morts au
Ils étaient cœur d'amour, ils étaient qui bat
Puis qui battra toujours en-dessous la croix
Ils ces amis que je connaissais pas
Ils étaient mon et puis le tien je crois
Ils Paris, Paris se souviendra
Toujours de ces amis la brillera
Ils je t'aime, ils s'appelaient jeunesse
Ils poème, ils s'appelaient tendresse
Ils frangine, ils s'appelaient frangin
Ils s'appelaient gamine, ils gamin
Ils s'appelaient la joie et puis la non
Ils s'appelaient je crois les enfants de la
De tout les puis de tous les prénoms
Ils s'appelaient amour, s'appelaient
Ils s'appelaient Jacques Brel puis je Barbara
Ils s'appelaient le ciel, ils pourquoi
Toujours ici l'horreur au creux du bois
Qui rejoint va l'innocent je crois
Ils poing levé, ils étaient nos concerts
Ils étaient cœurs serrés oui aux tortionnaires
Ils cœur d'œillets, des fleurs face au fusil
À nos cœurs endeuillés nous nos amis
À l'innocent qu'on tue, oui, sous les balles
Au soldat inconnu sous l'horreur des
Si sont les lettres mortes, les du chagrin
Puisque à la porte les plaines de Verdun
Si tombés ce soir, en ce vendredi noir,
Les frères de mon pays, nous laissant
Mon pays ta est morte, assassinée
tu sais ma culture non ne mourra jamais
Toi mon pays Molière, toi mon Vinci,
Toi mon pays Voltaire, toi mon pays
Toi mon la Terre, toi mon pays Paris,
Toi mon pays par terre, mon pays
Toi mon lumière, toi mon pays la vie
Mon pays littéraire, mon pays vie
Toi mon mes frères, toi frère de mon pays
Comme on sa mère, on chérit sa patrie