Posé dans ma everyday Bang bang bang bang Regarde nos c'est du vrai Bang bang bang bang
Bitchiz bitchiz remballe tes dix J'suis dans le biz dans le show-biz Pantalon je ne porte de pas de dickies (jamain) Après bah je cassais des gueules (oui) dans mon cartable Charo c'est charo, c'est violent (violent) L'équipe est toujours (oui) Une patate dans leurs j'suis pas ton copain me regarde pas chelou Espèce de bâtard cherche pas la bagarre j'te préviens déjà mes gars relou (relou) Zifukoro zifukoro ces négros sont faibles ces sont des peureux Je n'ai aucune aucune larme versé pour eux Une de tirs et ces bâtars ont couru (batars ont couru) que tu t'es d'jà fait rabaisser par celle que t'aimais secrètement ? Gentille en privé mais, les gens, cruelle et légère Est-ce que t'as d'jà tapé quelqu'un juste pour qu'on te ? Sans excuse, est-ce que t'as d'jà au point d'ber-ger' ? Est-ce que tu t'es dit : "Faut qu'j'me secoue, j'ai plus seize ans" ? plus qu'une âme perdue, errer et rôder des heures Voir un mec s'faire racketter, appeler au s'cours et l'sang Dans le même du RER où t'étais seul Est-ce que t'as détourné l'regard ? Dégoûté face à ta lâcheté Est-ce qu'après t'as fait des de malade juste pour t'racheter ? pour ça qu't'as été violent quand la prof t'a jeté ? Est-ce que tu t'es au taf de Kourtrajmé ? Est-ce que tu gardais, à Des secrets d'famille lourds dont tu peux pas parler à tes potes ? Même pas deux balles pour un café, d'sauter la serveuse ? L'été, à Paris, dans les parcs, tu la serviette Est-ce que t'as ressenti l'ivresse en t'imaginant la tristesse De ceux qui te connaissent si tu t'faisais la cervelle ? Est-ce que t'as d'jà ressenti la nature, au point qu'ça en soit ? Aimerais-tu en souhaitant bonne chance à tous les reufs ? que tu t'es d'jà menti à toi-même ? Est-ce que t'as été surpris on t'a dit : "On tient à toi, mec" ? que tu serais fidèle, même terrifié avec un flingue sur la tempe ? Est-ce que t'as honte de qu't'es bien coiffé sur la tof ? As-tu déjà brisé d'tes mains la d'un 'zin-gam' ? Victime du et du stress qui détruit nos organes En regardant ton sang ; t'es-tu déjà planqué Pour recompter ta somme jusqu'à condé t'assomme ? que tu t'réveilles au milieu d'la nuit ? Encore une inspi' En sachant et les spliffs abîment le corps et l'esprit remis avec elle après qu'elle t'ait été infidèle ? Est-ce que que tu l'as détestée et t'as envie d'elle ? Est-ce que, n'pas la gifler, t'as dû te battre contre l'instinct ? T'es-tu juré que plus jamais tu l'contrôle à c'point ? Est-ce que t'étais comme vide quand ils annoncé ? T'en voulu de n'pas pleurer sa mort ? Est-ce que tu t'es forcé ? Est-ce que c'est plus récemment, pour un détail anodin ? Au de chialer toute la nuit sur un vieux son de rap français ?
J'ai pas fait d'études, j'emmerde tes politiques, pas fait H.E.C J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des sur la chaussée J'connais les tafs de merde, les qui partent, le shit dans la chaussette J'me suis longtemps d'mandé si j'pouvais faire mais, là, je sais Non, j'ai pas fait l'ENA ni Sciences Po', pas fait H.E.C J'ai pas b'soin d'ça pour m'exprimer quand j'vois des sur la chaussée J'connais les tafs de merde, les potes qui partent, le shit dans la J'me longtemps d'mandé...
J'viens monde où même les morts sont à vendre, j'avance car l'avenir m'attire Et aux questions du morceau d'avant par l'affirmatif Personne pour alléger nos peines, tu f'rais à notre place ? Y'a des choses doit faire seul, personne pourra lécher nos plaies À notre place, parcourir la avec mes chats crevés Partager grain, noyer notre chagrin dans chaque 'rre-ve' Trempés jusqu'aux os sous l'averse, des de gouttière Dans cette vie sans saveur, on les goûts d'hier Alors le se verse, elle attend son sauveur, ma princesse Mais, un jour, j'partirai affaire, attiré par les sens inverses Cette envie d'bombarder tous les feux sont rouges J'ai l'esprit daltonien, toi, tu l'mal quand t'étales ton bien Mes pensées dans une tôle hermétique Un infini pour mes proches qui m'pardonnent, ceux qui tolèrent mes tics Peu d'respect pour les colleurs d'étiquettes, vu qu'mon cœur a la des tigres Le sang glacial sous la polaire, J'te parle d'honneur, d'éthique, nos parents ont debout Chaque victoire, ils sont fiers de nous, ça qu'on leur dédie J'ai la colère des p'tits à qui on d'mande de choisir d'un leur métier Qui a la conseillère d'orientation ? Ma jeunesse : son cœur est en sang, l'oseille est en Profiter sans faire attention t'emmène en de rétention Obligé d's'enterrer dans l'son, une putain d'raison d'vivre J'ai frappé dans les murs, mais ça vide C'est pour les gosses à bizarre, les voleurs, les Elephant Man Les mecs qu'ont des putains d'valeurs mais les défendent mal, humanoïde
Entrer dans ce monde plat nous ; j'plane, est-ce le désir ? peur que d'moi car le sage n'est pas d'ceux qui craint le sabre Ecrivrain le soir, sur les dunes pendant des heures Un petit grain de sable, la solitude m'inspire des
Et j'entends tout ce rap dans mon crâne, des mantras qui m'entravent Et, même quand on montera, y'a toujours chose qui manquera Tant que à reculer pour compter mes pas Le pire, c'est d'capter qu'c'est même pas t'aimait pas, c'est juste qu'on t'ignorait Pire robot d'Asimov, ta vie : un casino T'es quasiment en liberté enfermé des cases immenses Une femme se fait carna, carnage désincarné Sang écarlate sur le carrelage, moi, je ça dans un carnet Trop de mômes en prison, ce monde oppressant Trop de moments précieux, vis le présent J'emmerde l'horloger, tu mieux de réfléchir de réfugiés jamais relogée Quand j'parle de valeur, ils m'parlent de prix Ils méprisent la maîtrise, je maîtrise le En dépit de l'esprit, on est pris dans les Seul face à mon reflet : symétrie Et j'ai rendu la seule qui m'aimait triste Celle qui s'était de mes tristes débris Et mes regrets, mes tripes, car vu depuis Mes écrits la détruire, la déprime l'amour rend aigri, ça t'vient fatalement Comme la fin d'un monde où l'soleil est gris Meurtri un ermite, je ne décris que l'éternité Putride l'esprit qu'on a pétri de modernité Je ne vois que des vitrines mais, ce qui brille, le ternissons Des crises, des crimes, des cris, des griffes que nous
C'est pour les cyborgs défectueux, les Man Les mecs instables qu'ont des putains d'valeurs mais les mal, humanoïde
Comme si ça pouvait m'porter malheur de à mon propre bonheur Je crois qu'ça m'fait peur j'ai souffert un texte rempli d'aveux, pour toi, si l'amour rend aveugle Pourquoi embrassée les yeux ouverts ? Comme si ça pouvait m'porter malheur de croire à mon propre Je crois qu'ça m'fait peur tellement j'ai Encore un texte rempli d'aveux, toi, si l'amour rend aveugle Pourquoi l'ai-je les yeux ouverts ?