J'ai jamais eu de qui m'entravaient les poings Ni les pieds, j'crois qu'c'est pas la peine de un dessin Esclave de ma profession et de ses revenus, mais ça va J'écris mes vers avec deux ailes au Ni enveloppe ni chèque ne fait m'écraser Si ça pue, vise le projet et fais tout péter comme un Pas d'addition à présenter, rien, et chanter naturel comme rire ou plaisanter Les diamants disparaissent parce ne voit que l'écrin Et serre nos voeux si fort, périssent tous dans l'étreinte ne passe pas sous la tablée des princes Peu doué pour les pinces, ma vie? Rater des trains Leur c'est une pensée rigide J'vois mes mains, l'horizon enfin les invisibles Certain d'aller au ils s'vantent d'et' pieux Que Dieu me aux enfers, pour pas que j'reste avec eux
J'ai toujours eu mes pieds au sol, jamais rampé pour une De lumière, j'ai ces pensées mon jardin, le saphir et le satin Personne ne les verra que la base et le plan soient lancés
J'ai toujours eu mes pieds au sol, jamais rampé une part De lumière, planté ces pensées mon jardin, le saphir et le satin Personne ne les avant que la base et le plan soient lancés
J'ai mon camp, après avoir pris, des coups, des cours, sur la vie Du coup, déclaré mon avis, à tous les sourds Mené ma d'voir, l'monde, et pas qu'ses contours, Ma tour, ma base, sur qu'elle d'en d'sous, autour Y a un tas d'robots, qui pas la matrice Mon âme t'présente, ses voeux, et du factice M.A.N, a fait ses classes dans la rue, et pas à la fac, fils Non pas que fier, c'est mon monde, et j'y peux rien Le plus rien, j'l'ai eu, dès l'début, et dans la Ma main, ma man, même, l'mal, amène Le bien on l'cherche, encore, penser à la fin C'que j'crains, c'est d'être cloué au sol, un chien Dans c'pays, on m'a dit, que j'avais des en tant qu'homme Sur qu'ils pas vu, de beau blond, j'suis pas l'clone Libre, j'vibre, quand mon s'livre sur pages Mon imaginaire vit, mais j'sens
J'ai toujours eu mes pieds au sol, jamais rampé pour une De lumière, planté ces pensées Dans mon jardin, le saphir et le Personne ne les avant que la base et le plan soient lancés
J'ai toujours eu mes pieds au sol, jamais rampé une part De lumière, j'ai ces pensées mon jardin, le saphir et le satin Personne ne les verra avant que la et le plan soient lancés
Style de l'homme libre, ivre de paix car enivre, Libre car sorti d'un combat que trop livrent Libre, je voulais ailleurs j'ai du gravir des livres, Et pour conserver cette liberté j'en ai tiré des Libre, d'aller où mes rêves me traînent où bon me semble, Libre, de lâcher les rennes, libre, un pur sang, Avec mes et mes coups de sang, mes joies et mes tourments, Libre, de croire ou pas ils balancent leurs boniments Libre, et venir à ma guise sur ce fil en équilibre, Entre tout et la marge est infime et j'y glisse Libre, comme le court d'eau qu'on me laisse devenir Un beau jour je fleuve et je pourrai embrasser la mer Libre, de ou d'agir, de se taire ou de dire de passer Sa vie le dos ou le torse bombé Libre, même si ça doit me coûter une somme Mais cette chose n'a pas de prix, Nelson le sait personne
J'ai eu mes pieds au sol, jamais rampé pour une part De lumière, j'ai ces pensées Dans mon jardin, le et le satin ne les verra avant que la base et le plan soient lancés
J'ai toujours eu mes pieds au sol, rampé pour une part De lumière, j'ai ces pensées mon jardin, le saphir et le satin Personne ne les verra avant que la et le plan soient lancés