Regarde ma en pleure Mais les ici prennent une telle ampleur Les fils partent avant les pères, y a trop de en sueur Quand les fusils de la chantent le même air en cœur Le mangeur d'âme à chaque repas de nos rancœurs Je l'entends les nuits, las des fantômes qui la hantent, Las de leurs complaintes, tellement que des elle en tremble Par le sang de la haine, constamment ensemencée, au pas cadencé, Quand ce dernier chasse le vent hors des Rien n'a depuis, où je vis, Juifs, Catholiques, Musulmans, ou blancs, fermez vos gueules, vous faites bien trop de bruit Comme ces orages l'eau se mêle à nos larmes, Et leurs sur le sol aride dont l'uranium à voler l'âme Je pas d'une ville aux cimetières plus grand que la surface habitable Même si paraît que de l'autre tout est plus calme, plus stable Je pas qu'après le jour J, les survivants survivent sous le néon, Trop du néant, car le soleil les prive de rayons Les artères pleines d'amer un caddy au Géant, On charge, on charge, à la sortie c'est tout les dents J'crois que c'est l'ère du temps, chacun cherche son bouque émissaire Ouais, d'une simple vie ratée à l'envoi d'une nucléaire L'amour manque d'air dans leur monde, nous on suffoque, ce qu'on supporte, Ca pressurise, et les psys qui vont exorciser, Que quelqu'un me dise, si j'ai des chances de enfin la paix exigée. jour les abrutis s'instruisent, Perché sur ma plume, c' moment observe ce bordel De petites flammes montées au ciel, pour elle saigné ce gospel "Héra" se barre à tire d'ailes; las de la qu'on tire d'elle On clame tous ce qu'on l'aime, mais de nous n'est fidèle Jalousie et convoitise, se roulent de grosses Quand les viennent, on règle ça à coup de grosses pêches Et pendant ce temps là, certains amassent des sous par grosses qui est ce qui creuse mais avec des plus grosses pelles Quand est ce y arrive, là où le bonheur désaltère Mon futur se construit, sans cris, sans à terre, Ni de centrale en fuite rien sur le compteur Et finalement qu'ici, on est que locataire Tu d'une location, regarde un peu ce qu'on en a fait Quand le vieux fera l'état des lieux, on une croix sur la caution On aurait du le comme on nous l'a donné, Clean, sans taches, et comme un nouveau né, Seulement les nôtres meurent de en Afrique Et y a pas de fric pour eux Alors la dalle la tempérer Les hommes sous les rafales racistes, Mais on peut pour eux, Alors les balles les éviter Le cul devant la télé, à rêver, le doigt sur la commande, on se sent exister On râle, on gueule, on vote, espérant que ça va Mais tes barricades et tu les verra tous hésiter Garni et de stèles géantes, Le rêve de compassion et de bourgeons renaissant sur ses branches Les mêmes laissera crever un soir de décembre, dans le silence, Juste un de carton pour s'étendre, Tout le à ses chances, de quelle planète vient celui qu'à dit ça? Un homme politique, je crois, de Bora Bora Pendant que les foyers subissent, façon tora, Mais bon c'est bien trop bas, forcément il ne nous voit pas Parole et et paroles, ils ont promis monts et merveilles, les merveilles se sont envolées, Il reste que des monts, mais c'est raide à Et au sommet, y a que des en costumes cendrés Et en bas, c'est les jeux du cirque, César Parce qu'on va se faire bouffer par des qu'ils ont dressés On note une sévère chute de sang sur la map, une d'air noir Un jour on payera cher pour une bouffée pur Ici c'est chacun sa culture, chacun son Seulement sur fond blanc, c'est le noir qui reste la meilleure Les changent c'est sur, mais y a toujours des irascibles Ils ont le d'Henry, d'Arron, Mormeck ou Zinédine A l'heure où les dînent, Y en a encore trop cherchent, eux pas de 8 pièces, ils crèchent au parking Tout le monde indigne, Ca dévalue le quartier, ça mémé, Et on sait bien ce que va voter Du de leurs tours de biz', droites comme la tour de Pise Jumelles sur le pif, ils fractionnent, divisent à guise On s'étonne ensuite que ça finisse en Car tout ce qui compte de gonfler les commandes de missiles la démocratie, celle qui brandie la matraque, face à des pacifistes, pas d'accord, on te frappe, Multirécidivistes: c'est jamais ceux là traque Ils vivent en haut des et mettent leurs tronches sur les tractes Ce monde agonise, vu ce y fait, c'était prévisible Comme la sur le front, dès que la merde se profile Mais la peur atrophie les cœurs, peur de ce qu'on connaît pas Alors on se barde de débiles De partout les dominent, en prime time, A chaque fois qu'ils une famille Et bien avant ces régions où sévie la Image crue pour un beauf devant sa viande trop cuite Lui qui que l'euro ferait beaucoup d'heureux, Pour les vacances faudra un peu ou gagner aux jeux Mais là c'est pas trop l'heure, très tôt y a le taffe Comprend ce monde va trop vite, aucune chance le rattrape Sur la route des principes, ils ont mis des à Loups, Des gilets dynamites, et des y en a un peu partout Faudra gaffe aux mines, aux puits d'où la mort s'écoule Il a beau être vif, mais à la longue il évitera pas Et un de ces quatre il par tomber, J'espère qu'il y a aura pour aider le prochain à se relever J'espère qu'il sera pas le notre, aigri et crever Et j'espère surtout que celui-là pas de se faire sauter
Tu sais, on vit la télé, Le s'est fêlé, Ils servent de l'emballé mais en vrai la mêlé On à espérer des choses simples Mais leur fabrique à s'est mise en branle Tout ça les dérégler cris sans cicatrices, dans la matrice Ils disent qu'une vie de à New York Paris Londres ou Madrid Alors c'est comme ça une échelle la peine On ces catastrophes quand des gens manquent à l'appel Surtout nous ressemble, on les film à la morgue, Et nous les sofas content d'échapper à la mort, Il reste dans les l'anomalie appelée peur Et grâce à ça de toute part ils ont à la force, C'est une révolution, fois elle est de droite Voilà pourquoi le chantage à dans pleins de boîtes Voilà ils veulent à tout prix implanter la croix Et à la télé souvent on les croit dans leur droit, Ils c'est humanitaire Mais ils niquent les et la terre pour chaque écart c'est la guerre Si le est précaire, C'est qu'ils nous dressent à être délétères et se contenter de éphémères Si l'Afrique est en colère, c'est parce que les trusts la Seuls les généraux corrompus coopèrent et jouent des au poker Est-ce que la rancœur et le désir d'revanche est tout ce qu'on a offert? On parle du droit des femmes quand leurs les frappent, Avec des clichés sortis tout droit des fables Comme ci ici elles étaient bien depuis le ge c'est en 46 que c'est ouverte une nouvelle page Maintenant elles nous valent, on dit dans les Pourquoi elles moins de pognon à compétences égales? Pourquoi elles seraient moins pour êtres responsables? Alors nous ont tous torché le cul nu dans le sable On force sur la boisson, sur les canassons Mais la réalité c'est nous font bouffer du poison Et dans du bonheur beaucoup font la valise, L' espoir par des fanatiques libéralistes Pas de S.A.L, ni de grosses salves La stratégie est simple ils et ils affament Quand on les voit à la ces cons ont l'air affables le monde est à genoux quand ces bandits sont dix à table Des comptes sous faux ils prétendent agir au nom de la liberté Mais c'est la du pognon La France et les States par interposées Se livre une guerre en Afrique, et tu veux posé? par-ci démocratie par-là Mais j'ai sous la table et j'ai vu que c'était que des palabres La vrai mafia non la pas en Calabre ni dans ce bled Où dans les pauvres à quarante ans on tombe malade A fumer du mauvais et manger de la merde Où le xanax un tabac avec l'alcool fort Les rues deviennent des forges Et le y est commun monté sur grosses crosses La violence au quotidien de tant de gosses Et moi j'attends l'apocalypse après cette J'en ai marre de ces mensonges qu'ils colportent Pour les servir, dans de cas il y a mort d'homme Tous terroristes j'entend leurs Venter le sacrifice pour des c'est horrible Les mômes nourris à l'eau et au riz Pendant que pouf se baladent à Aspen ou St Morritz La flore la faune canne Dit: c'était des barbus qui lâché l'agent orange sur le nord Non c'était les boys qui peut m'indiquer la justesse d'une cause En de là chacun écrit ses droits je trouve aucune excuse à Hiroshima On peint l'histoire comme on vite une image Et importe qui se fait tuer chaque fois je le vit mal On croit en nos qui servent et nous protègent Du moins, est ce au quand ils jouent du lance rocket? Pour placer le pantin qui conviendra a la Une casserole de plus au de la défense Il se crêpe le chignon au fond ils sont Sur la conscience des y en a plus d'un million "Quand ils font les aiguilles nos ont des chignoles" Défilent sur des chars le 14, ils se au son de la marseillaise Et d'une imagerie guerrière qu'ils veulent tranquillement refiler aux élèves de leur dans le 16 On voit un tableau différent: ils disent croire en dieu mais croit en ce qu'ils Ils trouvent même pas un corps dans les du world-trade mais sortent des débris le passeport de Mohamed Je peux plus combien on trouve ça grotesque Tu comprends pourquoi "ça le désire" les bibliothèques Au collège de le vie ils jouent les profs Et abreuvent le quotidien de milles illusoires On a battis une on l'a nommé alamut Coincé entre garde à vue et garde à vous Compte tenu de la pression patriotique j'admire les gens de en Israël, en Amérique est ce qu'on mieux en France désolé si j'insiste regardons nous franchement, on est aussi raciste, ensuite on de la liberté au marché public, putain le drame avec les de la république. La république, elle passe ces en régate puis se prostitue de part pour un airbus ou une frégate, elle exécute dans une grotte des canaques et mange à table des gars style Giancanna puis le rainbow warriors et dessine les frontières du monde à la terrasse du Mariot, les fanatiques aux 4 coins du monde, les aux combats et manipuler les bombes le collier casse, ces cons échappent à contrôles et quand ils mordent la main du maître on crie aux monstres. ils discutent notre autour d'un pichet pour notre zarma, ils veulent nous ficher. C'est la france de les stores et ai marre de me faire gruger par des tronche de de sport. je me bat pas pour la mais pour un meilleur monde mes petits bras Souvent à cette ou la terreur gronde ou la frayeur monte, je travaille sur moi seconde être un meilleur homme. On vit en ces où dans un taudis de Paris. 36 gosses meurent brûlés vifs quand les en HLM dorment depuis des années les archives que des employés de la mairie en obtiennent avec terrasse et parking t'appelle pas ça du ils pleurent quand perdu on revient aux racines. ils ont caricaturés nos radicaux et l'on résumé par wesh ou yo yo! complexé, si peu sûr de soi, on entre nous, comme rital, rebeu ou renoi. Chaque jour, la ville resserre l'étreinte et tu peux voir les des nôtres évaporés écrits sur des trains. Ma vie, un mic, une mix-tape, loin des de ce qui élu président en 2007 j'adore ce moment où il dévoile le de qui devra des pipes monumentales au chinois. à défaut d'argent putain, du temps, dans nos bouches le mot devient insultant car c'est les soldats qui le portent et non le vent comme si le monde rempli de cruel sultan. Mécontent des schémas qu'on nous propose, je maintenant les dans mon microcosme. Mesure les dégâts que mon micro cause. Ca ne peut mieux alors j'attends la fin de leur monde...