À jamais, j'me rappellerai quand on manquait d'argent Que j'voulais rouler loin d'ma ville, apprendre sur la banquette arrière et l'siège Vivre au foyer, voir tout qui alors que j'étais jeune Que rien demandé, j'ai vu les emmerdes qui déboulaient J'ai vu mes parents faire des sacrifices, la les envahir Les autres d'comportement, ils n'avaient rien à dire J'ai grandi en m'disant qu'un j'me vengerais des euros Par centaine de milliers dans la rue j'descendrais Régler mes comptes le monde entier, parce que là On t'ouvre les bras, où les braves qu'auraient pu nous aider ? Moi, j'laisse personne entrer ma vie quoiqu'il arrive en vrai très peu récompensé, c'est rare que j'ose danser Avec la solitude, on si bien Des nuits noires et des gris ambiancés par l'transilien la nuit quand y'a plus personne dehors Quand les gens heureux respirent corps contre
Rien n'est jamais trop sain quand on a d'étouffer Si tu savais j'viens, tu comprendrais où j'vais Rien n'est jamais trop sain on a peur d'étouffer Si tu savais d'où j'viens, tu que vais, j'm'en vais Personne m'a ramené l'soleil quand dans ma vie il vais, j'm'en vais Ouais, j'me suis seul contre le courant, je nageais
Le n'efface pas tout, il est plutôt dévastateur Fuir le bonheur avant s'tire souvent séparé par la peur Je sais que j'dors bien près d'mes finances Y'a des blessures qui s'referment pas avec le diable, j'essaye de mes distances Chez moi, on pas l'amour, il nous tombe dessus par accident J'm'évadais en musique, pas un sou pour l'bâtiment J'ai du mon ego, c'était pas donné À Max Do', j'ai fini des mois grâce aux courses d'la mère de Et sur ce point, tout va si bien Mais les relations changent et disparu, joué au magicien J'ai mes raisons et mes torts à oublier, comme les saisons et les Qu'ont remplis mes quand pour le million, c'était mort J'avais perdu tout espoir de quoi qu'ce soit Dans mon p'tit appart sous les toits, l'hiver malmené par le L'été par l'soleil, ma f'nêtre ouverte En espérant que j'trouverai facilement
Rien n'est jamais trop quand on a peur d'étouffer Si tu d'où j'viens, tu comprendrais où j'vais Rien n'est jamais trop sain on a peur d'étouffer Si tu d'où j'viens, tu comprendrais que J'm'en vais, vais Personne m'a ramené l'soleil quand dans ma vie il J'm'en vais, j'm'en Ouais, j'me suis seul contre le courant, je nageais
Quand l'inatendu prend l'contrôle, j'me fais du mal et trop con laisse submerger par mes émotions Un de siècle dans la destruction, j'ai déjà pensé à sauter du pont M'barrer nouvelles et m'couper du monde J'me rappelle encore hiver où j'ai pas vu l'jour J'écrivais comme un fou, j'espérais m'dirait : "Ouais ça tue tout" Mais même mes potes pas pourquoi j'allais plus en cours j'existais plus, j'étais mal et dans ma bulle J'savais arriverai, j'me l'étais promis, au final Peu ont changés, ouais j'ai toujours pris des gros risques, malgré ça mis cet argent d'côté, personne peut comprendre Mais ça m'aide à voir mes ailes se De toute manière, j'ai que cette et la musique Plus les gens vont m'connaître, ils verront qu'à part le rap, j'sais rien faire Suffit d'un rien qu'tout s'arrête, dans l'amour comme dans l'rap j's'rai toujours dans ma tête, moi, au moins, on m'entendra ouais
Rien n'est jamais trop sain quand on a d'étouffer Si tu d'où j'viens, tu comprendrais où j'vais Rien n'est jamais trop sain quand on a peur Si tu savais j'viens, tu comprendrais que J'm'en vais, j'm'en Personne m'a ramené l'soleil quand ma vie il neigeait J'm'en vais, j'm'en Ouais, j'me suis fait contre le courant, je nageais vais, j'm'en vais Personne m'a ramené le quand dans ma vie il neigeait J'm'en vais, j'm'en Ouais, j'me suis seul contre le courant, je nageais