À tout jamais, j'me rappellerai quand on manquait Que j'voulais loin d'ma ville, apprendre sur la banquette arrière et l'siège avant Vivre au foyer, tout qui s'écroule alors que j'étais jeune Que j'avais demandé, j'ai vu les emmerdes qui déboulaient J'ai vu mes parents faire des sacrifices, la honte les Les autres d'comportement, ils n'avaient rien à dire J'ai grandi en m'disant qu'un jour j'me vengerais des Par centaine de quand dans la rue j'descendrais Régler mes avec le monde entier, parce que là On t'ouvre les bras, où sont les qu'auraient pu nous aider ? Moi, j'laisse personne entrer dans ma vie arrive en vrai J'suis très peu récompensé, rare que j'ose danser Avec la solitude, on si bien Des nuits noires et des jours gris par l'transilien J'respire la nuit quand y'a plus dehors les gens heureux respirent corps contre corps
Rien n'est trop sain quand on a peur d'étouffer Si tu d'où j'viens, tu comprendrais où j'vais Rien n'est jamais trop sain quand on a peur Si tu savais j'viens, tu comprendrais que J'm'en vais, vais m'a ramené l'soleil quand dans ma vie il neigeait J'm'en vais, vais Ouais, j'me fait seul contre le courant, je nageais
Le temps n'efface pas tout, il est dévastateur Fuir le bonheur avant qu'il souvent séparé par la peur Je sais que bien trop près d'mes finances Y'a des blessures qui s'referment pas le diable, j'essaye de garder mes distances Chez moi, on cherche pas l'amour, il nous dessus par accident J'm'évadais en musique, pas un sou quitter l'bâtiment du ravaler mon ego, c'était pas donné À Max Do', fini des mois grâce aux courses d'la mère de Salomé Et sur ce point, aujourd'hui va si bien Mais les relations changent et disparu, joué au magicien J'ai mes et mes torts à oublier, comme les saisons et les corps Qu'ont remplis mes nuits quand pour le million, mort perdu tout espoir de réussir quoi qu'ce soit Dans mon p'tit sous les toits, l'hiver malmené par le froid L'été dérangé par l'soleil, ma ouverte En espérant que facilement l'sommeil
Rien n'est trop sain quand on a peur d'étouffer Si tu savais d'où j'viens, tu où j'vais n'est jamais trop sain quand on a peur d'étouffer Si tu savais d'où j'viens, tu que vais, j'm'en vais Personne m'a ramené quand dans ma vie il neigeait J'm'en vais, vais Ouais, j'me suis fait seul le courant, je nageais
Quand l'inatendu prend l'contrôle, j'me fais du mal et c'est con J'me submerger par mes émotions Un quart de siècle dans la destruction, j'ai déjà pensé à sauter du M'barrer nouvelles et m'couper du monde rappelle encore d'un hiver où j'ai pas vu l'jour J'écrivais comme un fou, j'espérais m'dirait : "Ouais ça tue tout" même mes potes comprenaient pas pourquoi j'allais plus en cours Pourquoi j'existais plus, j'étais mal et ma bulle J'savais qu'j'y arriverai, l'étais promis, au final Peu ont changés, ouais j'ai toujours pris des gros risques, malgré ça J'ai mis cet argent d'côté, personne comprendre Mais ça à voir mes ailes se déployer De toute manière, j'ai que cette sécurité et la Plus les vont m'connaître, plus ils verront qu'à part le rap, j'sais rien faire Suffit d'un rien pour qu'tout s'arrête, dans l'amour comme l'rap Alors j's'rai toujours ma tête, moi, au moins, on m'entendra ouais
Rien n'est jamais trop sain quand on a peur Si tu savais d'où j'viens, tu où j'vais Rien n'est jamais trop sain quand on a peur Si tu d'où j'viens, tu comprendrais que vais, j'm'en vais Personne m'a ramené l'soleil dans ma vie il neigeait J'm'en vais, vais Ouais, suis fait seul contre le courant, je nageais J'm'en vais, vais Personne m'a ramené le soleil quand dans ma vie il vais, j'm'en vais Ouais, j'me suis fait seul contre le courant, je