Luyện nghe bài hát Fragment Troisième

Fragment

La mort
Tout a une fin dit
Mais est-il de l'ombre qui svit
une treinte irrelle
Peut-on le dcs d'un tre
A la chute des de nos anctres
Ou la de la matire
Et l'envol des dernires

S'il n'y a d'autres choses que celles que nomme
La mort ne serait donc pas sans de l'homme
N'est-il pas hasardeux de croire
En une abstraction par notre bon vouloir

Il se trouve que notre sant exige
Que notre se fige
Et se plie aux dogmes de nos
Nous dresponsabilisant ainsi envers la
Qui de son souffle glacial nous
Et qui jamais ne se
De rappeler sa tratre prsence
notre vaine impertinence

L'angoisse peut prsent
Car indirectement avons dcid de la faire apparatre

Rien n'existe, sauf les projections de esprit
Cet animisme inconscient qui donne un une vie
Qui n'en a
Une existence qui n'a rien
D'autre que ses propres
Et les articulations de sa raison
Elle-mme animant les signes actuellement
Par celui qui avait dcid de ne pas

La mort nous disions
en mesure d'effrayer quiconque
Bois l'enseignement avin
Des reprsentants du
Eux-mmes victimes de la crdulit
Dont tant se voient
nombre reprsentants de l'auto-proclame lite
En ralit surestime parasite

S'il n'y a choses que celles que l'on nomme
La ne serait donc pas sans l'interprtation de l'homme
N'est-il ainsi pas hasardeux de
En une engendre par notre bon vouloir

L'homme a peur de lui-mme
Et des de son imagination
Nous devons, je le pense, tendre une simplification
De raisonnement l'extrme