Ma vie, c'est de trouver les justes Ma vie, c'est de les soluces J'essaie les bonus La famille, les amis J'sais que j'arrive à focus car, derrière, l'équipe est robuste J'donnerai jusqu'au dernier Ma vie, c'est d'trouver des Remonte le temps, à la base Les cours, les à Palavas d'avoir la poisse J'écris des textes où j'trouve pas ma J'suis né au même qu'Balavoine naïf, maladroit Arrogant et timide à la fois, paroles hardcore comme une Fast-forward deux fois dix ans, soir, deuxième nuit blanche J'écris comme une de vidange juste avant d'embrasser l'silence J'veux plus nier les évidences Je sais qu'il va falloir mes distances Je sais que si tu tires sur les Faudra t'emmener tout seul aux fait des erreurs et j'en ferai d'autres, Mais j'veux jamais faire semblant d'être amnésique Quand tout l'monde te pour un connard Et l'seul à qui personne l'avait jamais dit la solitude des lendemains d'fête Après chaque concert, à chaque fois salle est vide J'aimerais dire à mon pote qu'on s'remet mieux d'une rupture que d'une rupture La vie passe en un clin d'œil, j'veux battre des cils, passer des paquets d'billes Aux sachets d'weed, grandi sur du métal et du R&B les films des frères Farrelly J'en ai marre de chanter la les enfants du marketing Chef d'entreprise, pas des chiffres
commencé sur des break beats Quand j'rêvais prod' de Mehdi pressé, l'passé resurgit, j'vais trainspotting Begbie J'ai bu des litres, j'ai des litres, auto-détruit, m'auto-guérir Sangoku, rallier mes ennemis ; devant l'ordi' l'épilepsie
Pas besoin de merci Je suis l'premier que ça jamais m'investir jusqu'à c'que j'rencontre une fille En soirée que revoir le jour d'après Et l'jour d'après, et tous les jours C'est la deuxième qu'une femme me porte Je renais, j'ai trouvé une force Nouveau jour, nouvelle ère, ordre, Je pas des nouveaux remords Ça y est, fait l'deuil d'une époque, Je que des fois vaut mieux changer d'décor Je sais qu'on peut s'voir et rester potes Je sais que ça demande un peu plus d'efforts
Ça fait de voir les gens changer quand tu les as vus grandir Mais j'vais plus pour les choses Sur lesquelles je sais que jamais d'emprise J'sais que j'dois pardonner, sinon la rancune sa hantise Que c'est de trouver la limite Entre les couilles et la franchise déjà être papa si j'étais pas naze les rares soirs où j'taffe pas C'est de quitter Paname Choisir qui sera là l'soir de mon plus calculer, j'déteste les maths Les discours changent qui tu parles J'sais qu'on sous-estime du mal fabricants d'armes méritent une balle
J'me méfie bonté des psychopathes De rentrer chez moi, voir des J'veux jouer mon avenir à pile ou face le feu ou les pyromanes J'crois plus aux discours des bavards Aux résolutions sous d'un arbre Mes n'affichent pas mes états d'âme ; des hauts et des bas mais j'ferai J'fais des de trucs anecdotiques la dépression qui frappe les comiques Marre d'être celui qu'esquive les Sérieuses en des trucs à moitié gole-ri plus l'angoisse d'être en panne, j'sais vie m'mettra des grandes claques J'utilise d'inspi' et l'temps passe, Des fantasmes des fantasmes J'veux laisser une trace, une marque, Que tu puisses mes t-shirts fièrement m'prenne dans les bras aux enterrements, Savoir pleurer, : Je t'aime tellement Plus voir comme une sorte de légende, j'veux apprendre à du présent J'ai les réponses trouve pas dans Google aux aveugles, décrire les couleurs J'aime des tubes, la mélancolie robotique d'auto-tune Ablaye et Skread, 7th Toujours là une mauvaise habitude Sept heures, j'enregistre seul à l'hôtel, seul au stud' Sept heures du J'dois rendre l'épilogue dans heures
Y a chances que l'son soit jamais mixé D'ailleurs, y'a d'fortes chances qu'il ait jamais
Tout j'sais Certains forts pour combler mes failles D'autres bien comment on les exploite Certaines relations néfastes Parfois, les s'séparent Mais les se réparent, Et la ligne est souvent la ligne de départ