J'observe ces hommes en Noyés cette masse informe Cette femme au visage dur qui en force Elle pense à sa carrière, fonce Malgré le harcèlement des la seule chose qui la pousse Quelque part, c'est le Elle a besoin de plus qu'un assez puissant Mais si elle laissait court à ses pulsions En vrai ce qu'elle ferait, c'est qu'elle Sur une fresque élevée, ses séquelle, elle sait ce qu'elle C'est quelque-chose de presque À presque, elle est mentale, j'aimerais m'enterre avant que le temps la prenne Avant qu'elle devienne un squelette Et la perde au sens large, un vrai squelette Que l'on en sciences nat' l'aprem' Un sourire éternel qui traîne en Comme si cette vie n'était qu'une blague Alors il l'exhibe pour que l'on apprenne de Que le règne de l'homme se trouve dans la Et que la n'existe pas, mais on résistera
Dans ta ça tourne pas rond Tes pensées sont des Le système te permet de Mais c'est pas des ailes, des hélices Contrôle-toi ou contrôler On peut être ou prisonnier de ses vices Et si les décident de prendre le relai Les suivants subiront des années de la gare se vide et les regards s'évitent Et c'est la guerre civile, elle est si vile, se perd si vite La terre mère sous la saleté de ses fils à ces idées qu'on subit, je sais, la cécité te séduis Nombrils égo-centrés, très peu Triste ironie d'une société de Les gens dans le besoin passent les apparences Qu'on va bientôt devoir sauver, que à ton voisin ? Qui a perdu ses grands-parents le ghetto de Varsovie Alors t'as gueulé sans trêve et tu t'es en 4 sans trêve Tes ont grillé, ton coeur est cendré T'as su plier quand t'as besoin d'rêve Peu de sang frais, dur de te Toute ton dans des zones excentrées Tu es jeune et ambitieux tu te sens prêt Déjà tu n'écoutais que le 113 dit à ta mère "je reviens, le temps presse" Y'a que pour te faire monter que je te Un jour l'immeuble entier Juste être sur qu'on te laisse entrer
Aventurier de l'inconnu, avant tu de l'inconnu Avant tu riais du qui passe, et puis le temps est passé Mais, avant tu riais de l'inconnu, avant tu de l'inconnu tu riais du temps qui passe, et puis le temps est passé
Aventurier de l'inconnu, avant tu de l'inconnu Avant tu du temps qui passe, et puis le temps est passé Mais, avant tu de l'inconnu, avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du temps qui passe, et le temps est passé
Tu sens bien que t'es Tu veux pas qu'on te L'homme est lâche comme un Et tu planes le doute Les se font et se défont Les humains et se défoncent Même du sommet des arbres, tout ça te Tes de pensés que le sommeil efface Nous des zombies, nous sommes des masques Que des sommes de faces désormais Des zones désolées, des hommes et des Tu te d'aucun des clans Des sourires en coin, des d'oeils Avant le d'un amour en déclin la nature immatérielle, c'est pas sur qu'on puisse Face à la lumière intérieure, c'est nos yeux plisse Ils disent que l'amour aveugle mais il t'a redonné la vue Il t'as fait muer ta rage était sourde, il a fait fredonner la rue Il t'a fait retirer le collier de qui te servais d'écharpe t'as fais désapprendre Des essentielles que tu savais déjà n'oublie pas qu'avant tu riais Mais l'amour te libères, oublié ? T'as dans l'univers et avant tu rayonnais Libère ta lumière, ils voudront te raisonner, libère ta
Aventurier de l'inconnu, avant tu riais de Avant tu riais du temps qui passe, et puis le temps est Mais, avant tu riais de l'inconnu, avant tu riais de Avant tu riais du qui passe, et puis le temps est passé
de l'inconnu, avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du qui passe, et puis le temps est passé Mais, avant tu riais de l'inconnu, avant tu de l'inconnu tu riais du temps qui passe, et puis le temps est passé