J'observe ces en costume Noyés dans cette informe femme au visage dur qui passe en force Elle pense à sa carrière, fonce Malgré le harcèlement des Mais la seule chose qui la Quelque part, c'est le Elle a besoin de plus qu'un anti-dépresseur assez Mais si laissait libre court à ses pulsions En vrai ce qu'elle ferait, c'est peindrait Sur une élevée, ses séquelle, elle sait ce qu'elle veut C'est de presque élémentaire À presque, elle est mentale, j'aimerais Qu'elle m'enterre que le temps la prenne qu'elle devienne un vrai squelette Et la perde au sens large, un vrai squelette Que l'on en sciences nat' l'aprem' Un sourire qui traîne en elle si cette vie n'était qu'une triste blague Alors il l'exhibe que l'on apprenne de force Que le de l'homme se trouve dans la science Et que la magie n'existe pas, on résistera
Dans ta tête ça tourne pas Tes pensées sont des Le te permet de voler Mais c'est pas des ailes, c'est des Contrôle-toi ou contrôler On peut libre ou prisonnier de ses vices Et si les enfants décident de prendre le Les suivants subiront des années de Soudain la se vide et les regards s'évitent Et c'est la guerre civile, elle est si vile, l'amour se perd si La terre mère étouffe la saleté de ses fils Face à ces idées qu'on subit, je sais, la cécité te Nombrils égo-centrés, peu s'entraident ironie d'une société de services Les gens dans le besoin passent les apparences Qu'on va bientôt sauver, que dire à ton voisin ? Qui a perdu ses grands-parents dans le ghetto de Alors t'as gueulé sans trêve et tu t'es en 4 sans trêve Tes neurones ont grillé, ton coeur est T'as jamais su quand t'as besoin d'rêve Peu de frais, dur de te concentrer ton enfance dans des zones excentrées Tu es jeune et ambitieux donc tu te prêt Déjà ti-pe tu que le 113 dit à ta mère "je reviens, le temps presse" Y'a que pour te monter que je te descendrais Un j'achèterai l'immeuble entier pour être sur qu'on te laisse entrer
Aventurier de l'inconnu, avant tu de l'inconnu tu riais du temps qui passe, et puis le temps est passé Mais, avant tu de l'inconnu, avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du qui passe, et puis le temps est passé
Aventurier de l'inconnu, avant tu riais de Avant tu riais du qui passe, et puis le temps est passé Mais, avant tu riais de l'inconnu, avant tu de l'inconnu tu riais du temps qui passe, et puis le temps est passé
Tu sens bien que unique Tu pas qu'on te double L'homme est comme un noeud Et tu planes le doute Les se font et se défont Les humains et se défoncent Même du des arbres, tout ça te dépasse Tes sommes de que le sommeil efface Nous sommes des zombies, sommes des masques Que des sommes de faces désormais Des zones désolées, des hommes et des Tu te d'aucun des clans Des en coin, des clins d'oeils le deuil d'un amour en déclin Fuir la immatérielle, c'est pas sur qu'on puisse Face à la lumière intérieure, c'est nos yeux qu'on Ils disent que l'amour rend aveugle mais il t'a la vue Il fait muer quand ta rage était sourde, il a fait fredonner la rue Il t'a fait retirer le de chien qui te servais d'écharpe L'éducation t'as fais Des essentielles que tu savais déjà n'oublie pas qu'avant tu riais Mais l'amour te libères, oublié ? rien dans l'univers et avant tu rayonnais Libère ta lumière, ils voudront te raisonner, ta lumière
Aventurier de l'inconnu, avant tu riais de Avant tu riais du temps qui passe, et puis le est passé Mais, avant tu de l'inconnu, avant tu riais de l'inconnu tu riais du temps qui passe, et puis le temps est passé
Aventurier de l'inconnu, avant tu riais de Avant tu riais du qui passe, et puis le temps est passé Mais, tu riais de l'inconnu, avant tu riais de l'inconnu Avant tu riais du temps qui passe, et le temps est passé